Le condylome se définit comme étant une excroissance charnue douloureuse, siégeant dans les régions anales, périnéale et génitales. Il est une affection sexuellement transmissible, véhiculée par des HPV (Human Papilloma Virus) et plus précisément les HPV 6 et 11 dans la majorité des cas. Rappelons que les papillomavirus humains attaquent de façon spécifique les tissus de revêtement de la peau et des muqueuses. Généralement, ses symptômes restent invisible ou peuvent donner naissance à des lésions bénignes et parfois cancéreuses. En persévérant dans les traitements, les patients finissent toujours par venir à bout de la maladie d'après certaines études. Néanmoins, « si ces lésions ne sont pas cancéreuses, d’autres papillomavirus humains favorisant la survenue du cancer peuvent être Co transmis au moment de la contamination », nuance une spécialistes. Les condylomes restent jusqu'à ce moment la plus fréquente des infections sexuellement transmissibles (IST) d’origine virale. D'après une étude, 3 à 5 pourcent des français présenteront un jour le papillomavirus.
Qu'est-il à la base des condylomes?
Les condylomes sont le résultat d’une infection de la peau et des muqueuses par une famille de virus : les papillomavirus humains (HPV pour Human Papilloma Virus). Il ne s'agit cependant pas de la même souche responsable des verrues plantaires.
En générale , on dénombre près de 200 types différents d’HPV constitués des HPV à faible risque de cancer, principaux responsables des condylomes et des HPV à haut risque de cancer.
L’infection à HPV ne se manifeste très souvent pas et disparaît spontanément dans 90% des cas. Dans les 10% restants, l’infection continu et entraine des lésions visibles. Les condylomes ont une durée d'apparition d'au moins 3 semaines et peut aller même à des années après l’infection à HPV. Négliger c'est à dire sans traitement, ils cesse d'apparaitre au bout de 2 ans. Après traitement, ils peuvent récidiver. Le tabac serait un facteur de risque de récidive. Le virus peut également rester en sommeil dans l’organisme et se réveiller brutalement sous l’effet d’une baisse de l’immunité (VIH, traitement immunosuppresseur…).
Quelques symptômes du condylome chez l'homme
Le condylome se développe sur :
le prépuce
le gland
le frein
l'orifice urinaire
autour de l'anus (on parle de condylomes anaux)
à l'intérieur du rectum
S'il est généralement indolore, il peut parfois provoquer des démangeaisons.
Quelques symptômes du condylome chez la femme ?
Le condylome se manifeste sur :
les grandes lèvres
la vulve (on parle de condylome vulvaire)
le périnée
les petites lèvres
sur la région périanale
Le condylome peut se manifester plusieurs années après la contamination. Cette infection est sans douleur cependant elle peut parfois engendrer des démangeaisons ou des saignements lors des rapports sexuels.
Comment prévenir un condylome?
Le moyen de prévention le plus efficace contre le condylome reste l’abstinence sexuelle, puisque « le préservatif est loin d’être totalement efficace contre le papillomavirus qui peut passer au travers ou peut se transmettre par un contact de peau à peau », selon la spécialiste. Toutefois, le port du préservatif permet de réduire les risques ;
Éviter de fumer et conserver une bonne hygiène de vie permettent d’optimiser son immunité et de mieux se prémunir contre les infections ;
Le traitement d’un condylome permet d’éviter de contaminer son ou ses partenaire(s).
Quel diagnostic?
Le diagnostic du condylome repose sur des examens complémentaires tels que :
Un examen au spéculum et un frottis cervico-vaginal : si les lésions sont situées dans le vagin, ce qui les rend alors difficiles à observer. Le frottis va également permettre de vérifier l'existence de lésions précancéreuses ou cancéreuses au niveau du col de l'utérus.
Une urétroscopie : pour visualiser l’intérieur de l’urètre dans l'éventualité où les lésions seraient localisées au niveau du méat urétral ou plus bas dans l'urètre chez l'homme.
Une anusoscopie : pour dépister les condylomes situés à l'intérieur de l'anus.
Une biopsie peut également être réalisée si le diagnostic n'est pas certain ou si la verrue génitale persiste suite au traitement. Comment la médecine traite le condylome?
Les condylomes peuvent diminuer ou disparaître sans aucune intervention. Cependant, un traitement médical permet d’éliminer les lésions visibles plus rapidement, réduisant du même coup le risque de transmission. Le médecin traite les conséquences (les condylomes) de l’infection et non sa cause (VPH), ce qui signifie que les verrues peuvent parfois revenir, même après être disparues. Il existe différentes approches pour éliminer les verrues génitales. Traitements médicamenteux À domicile, les personnes infectées appliquent sur les lésions une crème, l’imiquimod 3 fois par semaine au moment de se coucher et pendant 16 semaines maximum. Cette crème stimule le système immunitaire, entrainant la disparition des condylomes. En cas d’échec d’autres traitements plus anciens peuvent être utilisés en deuxième recours, comme la podophyllotoxine, ou le 5-fluorouracil. Traitements chirurgicaux Au besoin, les condylomes peuvent être retirés au laser, par cryothérapie (grâce à l’azote liquide) ou à l’électrocoagulation, où un courant électrique est utilisé pour brûler les verrues.
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