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personne seropositive au vih

Dernière mise à jour : 5 nov. 2022


personne seropositive au vih

Etre une personne seropositive au vih n'est pas du tout une fin en soi. D'autant plus qu'être atteint du VIH ne veut pas dire être malade du sida. En effet, Les termes "VIH" et "sida" sont fréquemment confondus. Ce qui entraîne une désinformation et crée la panique auprès des personnes seropostive au vih. Que veut dire être séropositive au vih ? Que doit-on faire quand on est une personne seropositive au vih ? On vous dit tout dans cet article.



Quand parle t-on de personne seropositive au vih ?


Il faut noter dans un premier temps que le terme "séropositive" désigne le statut positif d'un test effectué dans le but de détecter la présence d'un virus dans l'organisme d'une personne. Une personne peut donc être séropositive à l'hépatite C, au VIH responsable du Sida ou à un autre virus. Cependant, l'expression est beaucoup plus utilisée pour désigner une personne infectée par le VIH.


On parle donc de personne seropositive au vih lorsque cette dernière effectue un test de dépistage du VIH et que celui-ci ressort positif. En d'autres termes, une personne est dite séropositive lorsqu'elle est infectée par le VIH (virus responsable du Sida) et donc porteuse du virus. Par contre, cela ne veut pas dire que cette personne est malade du Sida.


Quand parle t-on du Sida


quand parle t-on du sida

En réalité, le Sida est la phase terminale d'une infection au VIH (Virus de l'Immunodéficience Humaine). C'est à dire qu'après une infection au Vih, il se passe une multitude de choses jusqu'à la possible phase du Sida. Une personne peut souffrir du Vih sans jamais atteindre la phase du Sida si les bonnes dispositions sont prises après le diagnostic.


De l'infection jusqu'au stade du Sida


Lorsqu'une personne est infecté par le virus du sida (le VIH), les symptômes ne sont pas immédiats. Parfois, ils ne se manifestent pas. L'infection est donc asymptomatique et la personne infectée ne se doute de rien (c'est pour cette raison que l'on qualifie le Sida de tueuse silencieuse). Lorsqu'ils se manifestent, il faut attendre deux à quatre semaines après l'infection pour les voir. Généralement il s'agit :

  • d'une fatigue générale,

  • de la fièvre, des frissons,

  • des douleurs articulaires et musculaires,

  • d'un mal de gorge,

  • des maux de tête et

  • d'une enflure des ganglions lymphatiques (signe de la présence d'un corps étranger dans l'organisme).

Oui, vous l'avez sans doute remarqué. Les symptômes du VIH sont très semblables à ceux d'une grippe. C'est exactement la même confusion que font les personnes infectées. Ceux-ci sont encore plus confortés dans leur diagnostic lorsque les symptômes disparaissent tout seuls au bout de quelques jours. Le virus dont la présence est insoupçonnée va se multiplier et s'attaquer petit à petit au système immunitaire.


Cette attaque peut prendre des années. Au cours de ces années, la personne infecté souffrira de ce qu'on appelle "les maladies opportunistes". Ce sont les bactéries et les petits virus qui mettront à contribution vos défenses immunitaires. Jusque là, aucun doute ne subsiste car pour la plupart de ces maladies opportunistes, il s'agit de petits symptômes que quelques cachets de paracétamol ou d'aspirine arrivent à dissimuler.



Puis, il arrive ce moment où au bout de plusieurs années de lutte, votre organisme cède. Les défenses immunitaires sont effondrées et les maladies opportunistes (sans véritables conséquences au début) deviennent de vrais dangers pour votre santé. La personne malade perd énormément du poids et est constamment alité dépourvue de ses forces : On parle cette fois d'une personne atteinte du Sida. Ce processus d'infection-multiplication-destruction peut durer des années.


Une personne peut vivre plus de 10 ans avec le virus dans son organisme puis être malade du Sida au bout de la 11 ème année (elle ne porte pas le nom de tueuse silencieuse pour rien). Pour éviter d'en arriver là, la solution est d'être pris en charge dès le diagnostic de l'infection. Mais alors une question se pose. Puisqu'elle peut être asymptomatique et que les symptômes sont très semblables à ceux d'une grippe, comment savoir qu'on est atteint du VIH ?


Comment savoir qu'on est une personne seropositive au vih


le test ELISA pour dépister le VIH

Le seul moyen de connaître son état sérologique et donc si on est une personne seropositive au vih, c'est de réaliser un test de dépistage du VIH. D'ailleurs, il est recommandé de se faire dépister fréquemment minimum chaque année. Il existe à cet effet plusieurs tests capables de vous révéler votre état sérologique. On distingue :

  • Le test Elisa : c'est un test classique qui se fait par prise de sang. Il s'agit d'un test fiable qui peut se faire dans un laboratoire d'analyses médicales avec une ordonnance de son médecin traitant ou d'une sage-femme capable de vous dire si vous êtes une personne seropositive au vih ou non,

  • Le test TROD : qui se fait par piqûre du bout d'un doigt. C'est également un test fiable qui peut s'effectuer dans un centre de dépistage ou dans les structures associatives. Généralement, en quelques heures, vous savez si vous êtes une personne seropositive au vih ou non.

  • L'auto test : c'est un TROD que l'on réalise soi-même avec la piqure au bout du doigt et qui s'achète en pharmacie. Cependant, la fiabilité de ce test est souvent remise en cause. Il vaut vaut mieux confirmer par une prise de sang.

Il existe un traitement pour les personnes atteintes du VIH


les antirétroviraux pour traiter le VIH

Si par le passé être une personne seropositive au vih était une fatalité, aujourd'hui, ce n'est plus du tout le cas. Il existe des médicaments (antirétroviraux) développés par la médecine qui bloquent la multiplication et la transmission du virus chez les personnes infectées. Vous pourrez donc vivre normalement sans jamais développer le Sida et en étant un porteur sain c'est à dire une personne non contagieuse. Comment c'est possible?


Grâce au traitement antirétroviral composé d'antirétroviraux qui permettent de rendre indétectable le virus du Sida (le VIH). C'est à dire que le virus est présent dans l'organisme, mais en quantité insignifiante. Il ne peut donc pas se multiplier ni causer de dégâts. C'est ce qu'on appelle le traitement comme prévention ou TasP. Vous pourrez donc vivre une vie normale sans craindre le fait de filer le virus à votre partenaire ou à votre entourage en leur faisant une accolade, en mangeant dans la même assiette qu'eux ou encore en leur serrant la main.


Bien évidemment, on ne transmet pas le virus du VIH de cette façon. Ce sont des fausses croyances construites autour de la maladie qui continuent de paniquer l'entourage des personnes infectées. Retenez qu'il n'existe que 03 façons de contracter le virus. Par voie sexuelle (rapport sexuel non protégé), par contact avec du sang infecté ou de la mère à l'enfant. Il n'est donc pas possible de contracter le VIH en embrassant une personne infectée, en serrant la main d'une personne infectée, en nageant dans la même piscine qu'une personne infectée ou encore en partageant un repas dans le même plat qu'une personne infectée.



Les antirétroviraux permettent de rendre la charge virale (la quantité de virus présent dans l'organisme) indétectable mais les plantes font également la même chose. Et elles le font très bien grâce à leurs diverses propriétés. Un traitement à base de plantes naturelles permet également de renforcer les défenses immunitaires. On vous propose de découvrir notre traitement à base de plantes naturelles pour personnes seropositives au vih

  • Graine de Nigella sativa (nigelle en français)

  • Beaucoup de TRICHOSANTHES KIRILOWII (Concombre Chinois en français)

  • Graine de Elettaria cardamomum (Cardamome en français)

  • Feuille de Cymbopogon citratus (Citronnelle en français)

Préparation :


Découper et sécher les ingrédients et les rendre en poudre fine.

Mode d'emploi :


Mettre une petite cuillerée de la poudre dans un grand verre d'eau tiède les matins et soirs en pressant à chaque fois un jus de citron

Traitement a long terme pour avoir une guérison


Informations complémentaires sur le Vih

Dans les semaines qui suivent l’entrée du VIH dans l’organisme, environ 30 % des personnes infectées ressentiront des symptômes semblables à ceux de la grippe ou de la mononucléose (fièvre, céphalée, maux de gorge, rougeurs sur la peau, fatigue, douleurs musculaires, etc.). Cette phase s'appelle la « Primo-infection », ou la première phase. Les symptômes disparaissent d'eux-mêmes sans traitement et l’infection passe alors dans sa deuxième phase.

Toutes les personnes infectées (même celles qui n’ont pas de symptômes) fabriquent des anticorps contre le VIH entre trois semaines et six mois (la majorité avant 3 mois) et deviennent ainsi séropositives pour le VIH. Le moment pour passer un test de dépistage du VIH fiable est trois mois après la dernière relation sexuelle que vous considérez à risque.

Le virus peut vivre dans l’organisme pendant de nombreuses années (de 5 à 7 ans en moyenne, mais cette période varie beaucoup d'un individu à l'autre) avant que la maladie n'évolue vers le sida – le virus est dans sa phase de latence. Durant cette phase de latence, on compte deux autres phases : la phase 2 asymptomatique (la personne infectée ne montre aucun signe extérieur de la maladie) et la phase 3 symptomatique (la personne infectée commence à ressentir un ou des symptômes reliés au VIH). La plupart des personnes en phase 2 asymptomatique se sentent bien et n'ont aucun problème physique relié au virus.


L'infection passe à la phase 4, appelée aussi SIDA, lorsque le patient commence à ressentir des symptômes reliés à la progression virale. Cette phase se caractérise par un système immunitaire fortement endommagé, ce qui entraîne des infections dites « opportunistes » : pneumonie à Pneumocystis jiroveci (autrefois appelé pneumocystis carinii), envahissement du système digestif par les champignons, sarcome de Kaposi (nodules cutanés de couleur bleue ou brune), lymphome (tumeur des ganglions), manifestations neurologiques, etc.

Les traitements antirétroviraux ciblent des molécules clés du VIH. Ils permettent de contrôler la charge virale et d'élever la population de lymphocytes T4, les cellules immunitaires ciblées par le virus. Cependant, l'interruption des thérapies entraîne presque toujours la réapparition très rapide du virus. Le VIH reste en effet toujours dans un état de latence dans l'organisme.


Astuces naturelles complémentaires pour l'alimentation du séropositif

  • L'Oignon dans le traitement du Sida

Les oignons sont l'une des meilleures sources du composé antioxydant quercétine, et cette substance ou ce composé est concentré dans la pelure d'oignon, et les oignons sont similaires à l'ail dans ses propriétés antivirales. Les oignons peuvent être utilisés quotidiennement, cuits avec leur pelure et retirés avant les repas, car ils sont riches en curistine.

  • La Poire et le VI

Le fruit de la poire est riche en caféine et en acides corogéniques, et l'acide caféine stimule grandement le système immunitaire. Les chercheurs ont également découvert que l'acide chlorogénique a une activité anti-VIH et que les poires doivent être consommées quotidiennement.

La bardane est une plante bisannuelle avec une tige atteignant 1,5 mètre de haut et une feuille incurvée et à l'extrémité des branches se trouvent des fleurs rougeâtres, également connues sous le nom de balskaa et scientifiquement sous le nom d'Arctium Lappa. La bardane est considérée comme l'herbe détoxifiante la plus importante en phytothérapie occidentale et chinoise.

La bardane, que ce soit sous forme de jus ou d'extrait, a une activité contre le virus du sida dans des tubes à essai, et le malade du sida peut l'utiliser avec de la nourriture.


Symptômes et stades du SIDA

Lorsqu'une infection par le virus qui cause le SIDA survient, le système immunitaire commence à être attaqué. Et c'est dans la première phase, appelée infection aiguë, que le VIH incube (temps entre l'exposition au virus et l'apparition des premiers signes de la maladie). Cette période varie de trois à six semaines. Et il faut 30 à 60 jours après l'infection pour produire des anticorps anti-VIH. Les premiers symptômes sont très similaires à ceux de la grippe, comme la fièvre et le malaise. Par conséquent, la plupart des cas passent inaperçus.


La phase suivante est marquée par la forte interaction entre les cellules de défense et les mutations constantes et rapides du virus. Mais cela n'affaiblit pas suffisamment le corps pour permettre l'apparition de nouvelles maladies, car les virus mûrissent et meurent de manière équilibrée. Cette période, qui peut durer de nombreuses années, est appelée asymptomatique. Afrique Remède bio vous propose des traitements naturels.

Avec des attaques fréquentes, les cellules de défense commencent à fonctionner moins efficacement jusqu'à ce qu'elles soient détruites. Le corps devient de plus en plus faible et vulnérable aux infections courantes. La phase symptomatique initiale est caractérisée par la forte réduction des lymphocytes T CD4 + (globules blancs du système immunitaire) qui atteignent moins de 200 unités par mm³ de sang. Chez les adultes en bonne santé, cette valeur varie entre 800 et 1 200 unités. Les symptômes les plus courants de cette phase sont: fièvre, diarrhée, sueurs nocturnes et perte de poids.






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